Vanja, Adnan, Nadja, Nijaz ou Sejla avaient 9, 8, 2, 12 ou 13 ans lorsque la guerre a débuté à Sarajevo en 1992. Grièvement blessés, ils ont pu être envoyés en France pour être soignés. Ils y ont passé plusieurs années au cours desquelles ils vont enregistrer des messages à l'attention de leurs familles prisonnières du siège de Sarajevo. Vingt ans plus tard, ils regardent ces images oubliées et se souviennent de leur histoire.

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