Quelques mois avant sa disparition tragique au Niger, Jean Rouch, ethnologue et père du "cinéma vérité", évoque avec émotion son enfance, son père, la Nouvelle Vague, la Cinémathèque française et Henri Langlois. Aspirant au "merveilleux permanent", il raconte son "paradis perdu" et son goût pour "le vent de l’éventuel".

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